Après la cérémonie, je rejoins l’un des danseurs épuisés et hors d’haleine, Bulent Sefermendi. Cela fait 20 ans qu’il participe à la Sema. Bulent Sefermendi explique qu’il lui a fallu travailler dur pendant 6 mois pour apprendre cette danse.
Mais
selon lui, pour la danser bien, il est essentiel de comprendre la philosophie
dont elle découle : "Pourquoi un derviche tourneur tourne-t-il ? C’est
cela la question essentielle.
La cérémonie de la danse établit en quelque sorte un pont qui permet à l’être humain de se rapprocher de Dieu. La philosophie de tout ça, c’est d’appeler à l’unité de tous, c’est une forme de philosophie religieuse appelée Tasavvof et qui invite à la fraternité, à l’amour et à l’union entre les hommes, pas seulement entre les musulmans, mais entre les croyants de toutes les religions. Le coeur de l’Islam, ce n’est pas ce que beaucoup pensent en Occident, c’est l’amour et l’amour de toute l’humanité."
La cérémonie de la danse établit en quelque sorte un pont qui permet à l’être humain de se rapprocher de Dieu. La philosophie de tout ça, c’est d’appeler à l’unité de tous, c’est une forme de philosophie religieuse appelée Tasavvof et qui invite à la fraternité, à l’amour et à l’union entre les hommes, pas seulement entre les musulmans, mais entre les croyants de toutes les religions. Le coeur de l’Islam, ce n’est pas ce que beaucoup pensent en Occident, c’est l’amour et l’amour de toute l’humanité."
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